Camisole-sur-Seine Lyrics
Band | |
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Album | Les heures pâles(2013) |
Type | Album (Studio full-length) |
Genres | Black Metal |
Labels | Tenebrd Music |
Album rating : –
Votes : 0
Votes : 0
6. Camisole-sur-Seine (7:16)
L'ondinisme éclatant de tes cheveux gris
Qui coule par tes pores et où perle la pluie
Descend sur l'aube comme une sanglante nageoire
Sur les vestiges en cru qui te servent d'auditoire.
Encor' hier nos mains noires de lucre ont fermé sur elles
Ces flammes aux ventres mous que les blettes ficelles
Retiennent en hurlant, clarté soudaine du sel
Dans le regard du gonze étreignant son missel
C'est le sang des émeutes qui coule de tes cuisses
Que l'urée a biffé, en biais, du signe et de la peur des joies trop glosées
L'Europe pleure ces larmes glacées que tu cuis à chaudes pisses
Aux tanins dorés, aux bains-douches et aux lèvres du vin trop clairet.
Aux mascarets de la Seine en feu, ton cul glabre, teigne
De nos aurores-mitaines prodigue la voix ténébrée.
Qu'un de nous deux s'évanouisse, et trébuche ou saigne
C'est l'entière compagnie qui glisse et qu'atteint le mollusque zélé.
C'est le sang des meutes, c'est le sang des maudits
Ton odeur de rouille a dénoué les complots, posé bien haut son microbe
Fané l'étendard, flétri le fanion; défaite, l'infirme utopie !
Au dargeot pulmonique que tu tends à la plèbe, se rallient les plus pauvres des zobs.
Nous les rendant tordus de l'insane immixtion
Ils s'enroulent de cris, se débattent en foutant !
J'ai foulé trop de drapeaux et j'ai bu trop de flaques
Où j'ai manqué de mirer ta branlante fiction.
Nous taisons le crime que ton sang répandit
dans les alcôves de couenne que les cocus craignent
Au moins mille fois t'enconnant j'ai maudit
De ces putains de Dieu la voix et le viol qui y baigne.
Qui coule par tes pores et où perle la pluie
Descend sur l'aube comme une sanglante nageoire
Sur les vestiges en cru qui te servent d'auditoire.
Encor' hier nos mains noires de lucre ont fermé sur elles
Ces flammes aux ventres mous que les blettes ficelles
Retiennent en hurlant, clarté soudaine du sel
Dans le regard du gonze étreignant son missel
C'est le sang des émeutes qui coule de tes cuisses
Que l'urée a biffé, en biais, du signe et de la peur des joies trop glosées
L'Europe pleure ces larmes glacées que tu cuis à chaudes pisses
Aux tanins dorés, aux bains-douches et aux lèvres du vin trop clairet.
Aux mascarets de la Seine en feu, ton cul glabre, teigne
De nos aurores-mitaines prodigue la voix ténébrée.
Qu'un de nous deux s'évanouisse, et trébuche ou saigne
C'est l'entière compagnie qui glisse et qu'atteint le mollusque zélé.
C'est le sang des meutes, c'est le sang des maudits
Ton odeur de rouille a dénoué les complots, posé bien haut son microbe
Fané l'étendard, flétri le fanion; défaite, l'infirme utopie !
Au dargeot pulmonique que tu tends à la plèbe, se rallient les plus pauvres des zobs.
Nous les rendant tordus de l'insane immixtion
Ils s'enroulent de cris, se débattent en foutant !
J'ai foulé trop de drapeaux et j'ai bu trop de flaques
Où j'ai manqué de mirer ta branlante fiction.
Nous taisons le crime que ton sang répandit
dans les alcôves de couenne que les cocus craignent
Au moins mille fois t'enconnant j'ai maudit
De ces putains de Dieu la voix et le viol qui y baigne.
Added by 모흐
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