À l'Ombre des Pendus Lyrics
Band | |
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Album | À l'Ombre des Pendus(2017) |
Type | Album (Studio full-length) |
Genres | Black Metal, Neofolk |
Labels | Independent |
Album rating : –
Votes : 0
Votes : 0
4. À l'Ombre des Pendus (22:52)
Quand les arbres s’embrasent sans rien illuminer
Et que le Soleil perce à travers l’éclaircie
Quand apparaît l’issue à l’âme délaissée
Dans les pâles racines de la mélancolie
Quand ce grand vide affreux s’installe à l’horizon
Et que chaque regard semble une mer sans fond
Dans ce sous-bois bercé d’une triste lumière
Revient comme un écho l’odeur des jours amers
Quelle atroce ironie que celle d’exister
L’arrogance d’un espoir quand l’aube vient caresser
Ces terres décadentes où rien ne tend la main
Et que mon corps pourrisse à la rosée du lendemain
De ces entraves de chair mon esprit se verra libéré
Comme un aveugle cherche
Une étreinte en prière
J’attends dans la nuit
Une dernière lumière
C’était le temps
Des premières fleurs
Des marches à travers la brume
C’était le temps des rêves effondrés
Mais ce temps-là est révolu
Le vent froid m’apporte l’odeur
D’un gouffre saturé de larmes
Amer le souvenir des jours heureux
C’était le temps
Des fleurs fanées
Des marches à travers la brume
Des éternelles –
Mais ce temps-là est révolu
Ô terres désolées
Que je n’arpenterai plus
Je dis adieu à ma chair
Je dis adieu à la lumière
Voilà le temps
Du chant du cygne
Au crépuscule abandonné
Vie de misère incertaine
Je dis adieu à la lumière
Sous une pluie froide et battante
Averse d’Automne mourante
Je marche seule, à travers champs
Sous un ciel sombre et putrescent
Admet la mort en toute chose
Souviens-toi, sous ce vent morose
Que le mépris de tout espoir
Demeure sans lumière entrevoir
Et l’aube s’en vient, grise et froide
Et les clochers lointains, sous cette blanche arcade
Et les forêts de brume, et les arbres sans vie
Et les relents qu’exhale la terre engourdie
Et les corbeaux s’envolent vers l’horizon naissant
Au loin de belles terres rurales et des champs
Sous les arcades éventrées
La lumière s’effondre, vaincue
Je pense qu’on m’y attend
Elle me nargue depuis longtemps
La vie ne peut-elle m’apporter
Qu’un labyrinthe sans pitié ?
Pourquoi craignez-vous les fatalités
Si elles vous offrent l’éternité ?
Vie de misère incertaine
Vie de misère incertaine
Assure-moi que chez toi on se repose
Promets-moi qu’en toi je serai libérée
Jure-moi qu’avec toi l’échec n’est plus
Accueille-moi comme il se doit
Vie de misère incertaine
Vie de misère incertaine
Et que le Soleil perce à travers l’éclaircie
Quand apparaît l’issue à l’âme délaissée
Dans les pâles racines de la mélancolie
Quand ce grand vide affreux s’installe à l’horizon
Et que chaque regard semble une mer sans fond
Dans ce sous-bois bercé d’une triste lumière
Revient comme un écho l’odeur des jours amers
Quelle atroce ironie que celle d’exister
L’arrogance d’un espoir quand l’aube vient caresser
Ces terres décadentes où rien ne tend la main
Et que mon corps pourrisse à la rosée du lendemain
De ces entraves de chair mon esprit se verra libéré
Comme un aveugle cherche
Une étreinte en prière
J’attends dans la nuit
Une dernière lumière
C’était le temps
Des premières fleurs
Des marches à travers la brume
C’était le temps des rêves effondrés
Mais ce temps-là est révolu
Le vent froid m’apporte l’odeur
D’un gouffre saturé de larmes
Amer le souvenir des jours heureux
C’était le temps
Des fleurs fanées
Des marches à travers la brume
Des éternelles –
Mais ce temps-là est révolu
Ô terres désolées
Que je n’arpenterai plus
Je dis adieu à ma chair
Je dis adieu à la lumière
Voilà le temps
Du chant du cygne
Au crépuscule abandonné
Vie de misère incertaine
Je dis adieu à la lumière
Sous une pluie froide et battante
Averse d’Automne mourante
Je marche seule, à travers champs
Sous un ciel sombre et putrescent
Admet la mort en toute chose
Souviens-toi, sous ce vent morose
Que le mépris de tout espoir
Demeure sans lumière entrevoir
Et l’aube s’en vient, grise et froide
Et les clochers lointains, sous cette blanche arcade
Et les forêts de brume, et les arbres sans vie
Et les relents qu’exhale la terre engourdie
Et les corbeaux s’envolent vers l’horizon naissant
Au loin de belles terres rurales et des champs
Sous les arcades éventrées
La lumière s’effondre, vaincue
Je pense qu’on m’y attend
Elle me nargue depuis longtemps
La vie ne peut-elle m’apporter
Qu’un labyrinthe sans pitié ?
Pourquoi craignez-vous les fatalités
Si elles vous offrent l’éternité ?
Vie de misère incertaine
Vie de misère incertaine
Assure-moi que chez toi on se repose
Promets-moi qu’en toi je serai libérée
Jure-moi qu’avec toi l’échec n’est plus
Accueille-moi comme il se doit
Vie de misère incertaine
Vie de misère incertaine
Added by Eagles
À l'Ombre des Pendus - Lyrics
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À l'Ombre des Pendus - Album Credits
Members
- Belle Hache : Vocals, Bass
- Souverain : Guitar, Drum Programming
- Charogne : Guitars, Keyboards
Other staff
- Souverain : Mastering Engineer
- Charogne : Artwork