Conclusion Impromptue Lyrics

Le vent qui emporte la chanson des cloches fêlées
fredonne l'air de dissension.
Qui me murmure sa raison,
se nourrissant des fleurs qui n'ont germées

paisible et calme, l'ouvrage sommeil au sein de mes pensées
grandissant en moi, le goût amer devient le fjord de mon corps
je ne peux qu'abdiquer, toi qui règne sur mon psyché

je me laisse m'envelopper par la maladie et je me prosterne devant ta suprématie
l'éveil du torrent me plonge dans le tourment
incrustation, germination, l'entité voilée commande mes pensées
petit être micro fongique qui me fait perdre la raison, me donnant qu'une solution

resplendissant dans les nuées là où règne suprême la voix qui résonne, qui m' ordonne
seul je m'abreuve de ces douces protestations épineuses qui se nourrissent des flames de mon âme

Une fois de plus la contemplation du salut me regarde du haut, attendant son moment opportun
Les idées fouettent mes réflexions, la tempête se propage dans mon être
Le vent flagelle mon visage en m'enveloppant dans son obscurité qui s'étend dans le vaste infini

Le froid vient cajoler mon visage et la brise vient siffler l'hymne des ténèbres, enfermée là où je vais m'échouer
s'estompant dans la poussière. Les spores de mes idées viennent infecter l'air de mes pairs.
Petit démon qui dévore la lumière, englouti les flammes qui crépitent de raison.