Drache Lyrics
Band | |
---|---|
Album | Crèvecœur(2015) |
Type | Album (Studio full-length) |
Genres | Black Metal |
Labels | France d'Oïl Productions |
Album rating : 80 / 100
Votes : 1
Votes : 1
5. Drache (9:37)
-L'enfleurage d'un premier printemps (5 Mai 2013) :
C'est l'histoire dramatique d'un printemps avide d'inexplorées ondées.
Écoute ! Drache t'a épousée le vingt mai à l'amorce de l'été.
Et l'exquis s'esquissait sous l'effet des averses parfumées.
Premières étreintes, premières étendues, et la drache au printemps s'était alitée.
-L'été en intimité :
Ma tendre drache anxieuse que tant de vertus amassent.
Elle se penchait et apposait ses qualités à l'étroit espace.
Ma douce drache repose tes faiblesses à l'intimité salace.
Des gouttes d'été qui s'évaporent, renouvelées, à l'instant se lâche ma drache.
Drache, flotte du Nord, à flots déborde.
Drache, perds pas le nord, perle ton or.
-La demeure automnale :
Adorables jours d'automne, drache était là, à déverser les plus sensuelles eaux de l'année.
Elle s'unit à lui, impunément, lui tout gris, elle toute éclairée.
L'ondée de cette année s'est figée, au premier Octobre s'imbibe.
Sans ce flot d'absences réitérées, on aurait eu un hiver torride.
-L'hiver en solitaire :
Tout l'hiver sans relâche des trombes d'eau tombèrent, pourtant drache du matin au soir n'était pas là.
Du soir au matin loin des yeux loin du cœur, sans elle, seule, l'oubliée saison s'étancha.
A crever de soif sans ton eau mielleuse je me suis désaltéré à l'eau régale.
Afin de dissoudre mon âme violée dès le matin à la défonce royale.
Dunkel plus que Dunkel enivré de la tête aux pieds jusqu'au suivant printemps.
Qui meurt avant l'heure et les saisons crèvent une à une sans nous laisser le temps.
Plus Dunkel que Dunkel tu meurs sans broncher ! Ô ma drache...
Pas plus fort ni meilleur mais plus écorché, déshydraté, ma drache me lâche.
-L'effleurement d'un second printemps (13 Mars 2014) :
Ma drache se bride à l'aurore d'un second printemps.
Qu'elle lâche pour qu'à la place, quotidiennement.
Elle assèche nos rosées pour une nouvelle ère de glace.
En laquelle toutes saisons par nature s'effacent.
L'hiver... L'hiver... L'hiver fût rude mais acclimate nos eaux communes sans baisser les bras,
N'abandonne pas notre enceinte passagère, le printemps reviendra,
Les variations saisonnières arrachent les barrières de nos carences,
C'est drache qui chante l'hymne de notre route qui avance.
"Encore à contrecœur je l'ai laissée me déposer, j'attends seul à présent le cœur arraché, les bras lacérés.
L'esprit incarcéré dans les mauvaises pensées, des heures durant, des années, un train à destination de l'Enfer acéré"
C'est l'histoire dramatique d'un printemps avide d'inexplorées ondées.
Écoute ! Drache t'a épousée le vingt mai à l'amorce de l'été.
Et l'exquis s'esquissait sous l'effet des averses parfumées.
Premières étreintes, premières étendues, et la drache au printemps s'était alitée.
-L'été en intimité :
Ma tendre drache anxieuse que tant de vertus amassent.
Elle se penchait et apposait ses qualités à l'étroit espace.
Ma douce drache repose tes faiblesses à l'intimité salace.
Des gouttes d'été qui s'évaporent, renouvelées, à l'instant se lâche ma drache.
Drache, flotte du Nord, à flots déborde.
Drache, perds pas le nord, perle ton or.
-La demeure automnale :
Adorables jours d'automne, drache était là, à déverser les plus sensuelles eaux de l'année.
Elle s'unit à lui, impunément, lui tout gris, elle toute éclairée.
L'ondée de cette année s'est figée, au premier Octobre s'imbibe.
Sans ce flot d'absences réitérées, on aurait eu un hiver torride.
-L'hiver en solitaire :
Tout l'hiver sans relâche des trombes d'eau tombèrent, pourtant drache du matin au soir n'était pas là.
Du soir au matin loin des yeux loin du cœur, sans elle, seule, l'oubliée saison s'étancha.
A crever de soif sans ton eau mielleuse je me suis désaltéré à l'eau régale.
Afin de dissoudre mon âme violée dès le matin à la défonce royale.
Dunkel plus que Dunkel enivré de la tête aux pieds jusqu'au suivant printemps.
Qui meurt avant l'heure et les saisons crèvent une à une sans nous laisser le temps.
Plus Dunkel que Dunkel tu meurs sans broncher ! Ô ma drache...
Pas plus fort ni meilleur mais plus écorché, déshydraté, ma drache me lâche.
-L'effleurement d'un second printemps (13 Mars 2014) :
Ma drache se bride à l'aurore d'un second printemps.
Qu'elle lâche pour qu'à la place, quotidiennement.
Elle assèche nos rosées pour une nouvelle ère de glace.
En laquelle toutes saisons par nature s'effacent.
L'hiver... L'hiver... L'hiver fût rude mais acclimate nos eaux communes sans baisser les bras,
N'abandonne pas notre enceinte passagère, le printemps reviendra,
Les variations saisonnières arrachent les barrières de nos carences,
C'est drache qui chante l'hymne de notre route qui avance.
"Encore à contrecœur je l'ai laissée me déposer, j'attends seul à présent le cœur arraché, les bras lacérés.
L'esprit incarcéré dans les mauvaises pensées, des heures durant, des années, un train à destination de l'Enfer acéré"
Added by 차무결
Crèvecœur - Lyrics
2. Sois ton propre oiseau Lyrics | 3. Irancy Lyrics |
4. Les jours sans Lyrics | ▶ 5. Drache Lyrics |
6. Octobre Lyrics | 7. Crèvecœur Lyrics |
8. Vesper, ce dernier soir où je me noircirai comme un corbeau Lyrics |
Latest Sale Freux Lyrics