La Philocoprie Dans le Bavoir Lyrics
Band | |
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Album | Rektaliation(2003) |
Type | Album (Studio full-length) |
Genres | Brutal Death Metal |
Labels | Galy Records |
Album rating : –
Votes : 0
Votes : 0
3. La Philocoprie Dans le Bavoir
Ois-moi, toi qui crois avoir tout ouï
En matière de déviance et de vice,
J’aurais à conter à ton cœur marri
L’effet que me font la merde et la pisse.
Très cher confident, c’est ma passion,
Mon péché mignon que je te confesse ;
J’aime le coulis coulant du côlon,
Le sirop d’anus, la liqueur de fesse !
J’appréciais bien, tout petit déjà,
De jouer au lit avec mon caca ;
Avec fort grands ris, je souillais ma couche,
M’emmerdais gaiement jusque dans la bouche !
Père s’écriait : -Mais quel animal !
Il s’est aspergé de son jus fécal !
Et Mère pleurait sur l’heur misérable
D’avoir enfanté cet être exécrable !
Conchié de toutes parts, empli de désespoir,
Je connu bien trop tôt la parentale haine ;
Je n’eus plus que le pot pour soulager ma gêne,
Et pour verser mes pleurs qu’un vulgaire urinoir !
J’attendais tout le jour la superbe vidange
Du tube fabuleux qui lâche l’ambre gris,
Pour prouver sans vergogne aux parents ébahis
Que la pisse se boit et la merde se mange !
On n’est pas sérieux quand on n’a que trois ans !
Je m’expliquais alors en ces termes poignants :
« Qu’est-ce donc qu’un étron ? C’est l’âme qui se donne !
C’est un enfant qui pleure et que l’on abandonne !
Un tourbillon furieux l’emporte aux noirs égouts
Quand ce n’est le broyeur qui lâche son courroux !
Mais moi, je m’émerveille, en ma candeur champêtre,
De me voir accoucher sans m’être en rien fait mettre ! »
Mais un beau jour tout s’arrangea.
J’avais, comme à mon habitude,
Couvert les murs de mon caca .
Ma mère, avec sollicitude,
Nettoyait. Mais me croira-t-on ?
Je la vis goûter mon étron !
Puis s’exclamer d’un air sagace :
« Ah ! sots que nous avons été
De déclarer ‘c’est dégueulasse’
Avant même d’avoir goûté ! »
Mon père, étonné par cette harangue,
Tendit sur le champ le bout de sa langue ;
Un morceau de choix vint s’y déposer,
Puis un autre encor, puis l’étron entier !
Tout couverts de merde, allaient-ils me battre,
L’odieux darron, l’affreuse marâtre ?
Non, car Papa dit: « C’est un vrai régal !
Quel goût délicieux, quel met magistral ! »
Et depuis Maman sert toujours à table
Du caca bien fait, frais et délectable !
En matière de déviance et de vice,
J’aurais à conter à ton cœur marri
L’effet que me font la merde et la pisse.
Très cher confident, c’est ma passion,
Mon péché mignon que je te confesse ;
J’aime le coulis coulant du côlon,
Le sirop d’anus, la liqueur de fesse !
J’appréciais bien, tout petit déjà,
De jouer au lit avec mon caca ;
Avec fort grands ris, je souillais ma couche,
M’emmerdais gaiement jusque dans la bouche !
Père s’écriait : -Mais quel animal !
Il s’est aspergé de son jus fécal !
Et Mère pleurait sur l’heur misérable
D’avoir enfanté cet être exécrable !
Conchié de toutes parts, empli de désespoir,
Je connu bien trop tôt la parentale haine ;
Je n’eus plus que le pot pour soulager ma gêne,
Et pour verser mes pleurs qu’un vulgaire urinoir !
J’attendais tout le jour la superbe vidange
Du tube fabuleux qui lâche l’ambre gris,
Pour prouver sans vergogne aux parents ébahis
Que la pisse se boit et la merde se mange !
On n’est pas sérieux quand on n’a que trois ans !
Je m’expliquais alors en ces termes poignants :
« Qu’est-ce donc qu’un étron ? C’est l’âme qui se donne !
C’est un enfant qui pleure et que l’on abandonne !
Un tourbillon furieux l’emporte aux noirs égouts
Quand ce n’est le broyeur qui lâche son courroux !
Mais moi, je m’émerveille, en ma candeur champêtre,
De me voir accoucher sans m’être en rien fait mettre ! »
Mais un beau jour tout s’arrangea.
J’avais, comme à mon habitude,
Couvert les murs de mon caca .
Ma mère, avec sollicitude,
Nettoyait. Mais me croira-t-on ?
Je la vis goûter mon étron !
Puis s’exclamer d’un air sagace :
« Ah ! sots que nous avons été
De déclarer ‘c’est dégueulasse’
Avant même d’avoir goûté ! »
Mon père, étonné par cette harangue,
Tendit sur le champ le bout de sa langue ;
Un morceau de choix vint s’y déposer,
Puis un autre encor, puis l’étron entier !
Tout couverts de merde, allaient-ils me battre,
L’odieux darron, l’affreuse marâtre ?
Non, car Papa dit: « C’est un vrai régal !
Quel goût délicieux, quel met magistral ! »
Et depuis Maman sert toujours à table
Du caca bien fait, frais et délectable !
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